Il y a des moments dans la vie où l’on préférerait être ailleurs, mais qu’avec un peu de recul, on dégage tout de même du positif de ces moments. C’est ce qui m’est arrivé aujourd’hui dans le cadre d’un de mes cours universitaires. Au lieu de perdre mon temps, j’en ai profité pour avancer notre travail de session sur le sport qu’est le bobsleigh.
Je retiens surtout le fait que pour bien performer à ce sport, les qualités physiques et les filières énergétiques sont celles requises pour la majorité des sports de force-vitesse (force, puissance, vitesse, puissance anaérobie alactique, entre autres.). Or, pour un joueur de football, de rugby ou un sprinteur qui s’est retiré de la compétition pour son sport respectif, le bobsleigh peut être une avenue intéressante à emprunter s’il désire maintenir sa forme physique, faire partie d’une équipe et avoir la chance de rayonner au niveau national et international. Il est possible de tenter sa chance à divers camps d’évaluation à travers le pays, camps où l’aspirant doit passer divers tests physiques (sprint de 30 mètres, flying start sur 30 mètres, tirer de toboggan sur 20 mètres, épaulé, squat, bench press et examen de poussée simple). S’il performe bien, il est possible que l’athlète soit inviter au camp d’entraînement et peut-être obtenir une place sur l’équipe nationale.
Étant donné mon intérêt pour l’entraînement à la performance, je vous laisse sur un vidéo de Time Magazine sur les méthodes d’entraînement utilisées chez les bobeurs. Si vous voulez satisfaire votre curiosité grandissante suite au visionnement de ce vidéo, vous pouvez aller voir les autres vidéos à propos de d’autres disciplines olympiques.
Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site internet de Bobsleigh Canada Skeleton: http://www.bobsleigh.ca/