Parlons suppléments
Plutôt cette semaine, je vous ai donné quelques trucs afin de vivre en meilleure santé (ici). J’ai notamment couvert les aspects de l’entraînement, de la… Lire la suite »Parlons suppléments
Plutôt cette semaine, je vous ai donné quelques trucs afin de vivre en meilleure santé (ici). J’ai notamment couvert les aspects de l’entraînement, de la… Lire la suite »Parlons suppléments
Bien que plusieurs facteurs contribuent à l’amélioration de la performance physique, il est primordial que le stress imposé à l’organisme soit suffisamment grand afin de… Lire la suite »Choisissez-vous la bonne charge d’entraînement?
Tout le monde se demande comment faire pour perdre du poids, gagner de la masse musculaire, améliorer ses performances sportives, améliorer sa santé, etc. Il… Lire la suite »Guide 101 pour vivre en santé
Mardi avait lieu ma deuxième séance d’haltérophilie avec Nick Roberts, le champion canadien sénior actuel. Je peux vous dire que j’ai ressenti les effets de ma première séance; j’ai eu mal aux ischios-jambiers pendant 4 jours à pratiquer mon arraché et mon épaulé avec 50 kg maximum. Comme quoi je n’utilisais vraiment pas assez d’extension au niveau de mes hanches.
Cette fois-ci, nous avons encore beaucoup travaillé sur l’arraché. Bien que je commence à réaliser mon extension des hanches avec plus de vigueur, mon point de contact est souvent trop rapide, ce qui fait que le contact entre la barre et mon corps se fait à la mi-cuisse ou au 2/3 quand l’idéal est au niveau de la hanche. Toutefois, tel que je le mentionnais dans mon compte-rendu de la première séance, cela vient avec de la pratique. Il vient aussi un moment où l’on sent une bonne répétition. La sensation est meilleure que lorsque l’on vient de réaliser une répétition passable.Lire la suite »Seconde séance d’haltérophilie et visite à Springfield, Massachussett
On clame haut et fort que la jeunesse d’aujourd’hui n’est pas assez active et souffre de plus en plus des effets négatifs associés à la sédentarité. Il est donc important de pousser les jeunes à pratiquer divers sports où ils sauront se développer sur le plan physique, psychologique et social. Une fois cela accompli, un jeune peut vouloir s’investir dans un sport en particulier en raison du plaisir qu’il en retire, mais également par ses compétences à pratiquer ce sport. Une tendance s’est donc développée, soit celle de pratiquer un sport 12 mois par année et ce, à un jeune âge. On parle alors de spécialisation hâtive dans l’espoir que notre enfant soit le prochain Tiger Woods ou autre phénomène sportif.
Or ce matin, j’étais en train de lire un interview de mon collègue Kevin Neeld quand cette phrase m’a frappé:
«As is the current trend in most youth sports, the emphasis is on games and exposure at the expense of training. We’ve replaced preparation with competition, development with exposure» – Kevin Neeld Lire la suite »Quand pratiquer un sport peut devenir contre-productif